Décontraction à fond.[Pv Jared]

Eléonor avait absolument besoin de se détendre si elle voulait pas péter un cable. Non elle n'avait pas l'intension de crier et qu'on la prenne pour une folle, et elle ne voulait pas frapper quelqu'un non plus. Fallait qu'elle respire à fond et qu'elle aille se détendre. Obligation d'ordre civil, si on voulait qu'il n'y ai aucun meutre cette année. Mais comment le proviseur avait osé? Comment il avait osé les mettres dans la même classe? Pas avec elle. Ca allait faire la troisième années qu'elle allait devoir la supporter. Ca leur fesait plaisir ou quoi? On dirait oui, même en cours les deux cousines ne peuvent s'empêcher de se chamailler et de trouver quelque chose à ce dire.

Eléonor marchait rapidement dans les couloirs, et sans vraiment s'en rendre compte, elle prit la direction du foyer. Ah le foyer, l'endroit qu'elle fréquenter le plus lors de sa première année. Les étudients s'amusent bien ici, quand il n'y a pas de conflit biensur. Musique, billard, fauteuil, télé...tout pour passer un bon moment. Elle arriva enfin devant la porte et l'ouvrit. Elle entra dans le foyer et claqua la porte derrière elle, elle était énervé et ca se voyait. Personne ne pouvait lui parler, et elle ne voulait pas voir de personne qu'elle connaissait parce qu'elle risquerait de s'énerver après. Elle se dirigea vers un petit fauteuil vide, en cuir, des fauteuil club, comme dans les années 80, et s'installa dedans. Elle parcourut la salle des yeux, mais vit personne qu'elle ne connaissait. Tant mieux. Elle croisa ses jambes, ferma les yeux et respira un bon coup. Fallait qu'elle l'oublie, cette année allait passer vite, fallait y croire. Sur cette pensée, elle pensa à son cousin, comment il fesait pour rester aussi indifférent à ca et surtout comment il fesait pour LA supporter? Oui c'était sa soeur, ok, mais Eléonor était sa cousine, oui bon rien à côté d'une soeur, mais quand même. C'était complétement inpensable.

Je venais d’avoir ma composition de classe. Help ! Je savais que les pianistes étaient de gens issues de famille très pieuses, mais de là à ce que plus de la moitié de la classe fut choqué quand il arriva à la réunion d’emploi du temps. Enfin, sur le coup, je m’étais dit ; heureusement qu’ils ne savent pas tout ^^’. La réunion terminée, j’étai assez agacée à la vue de ma prochaine année, heureusement, j’étais un « prodige », je souris à cette pensé, alors, je les bâterais tous aux exercices, et je pourrais les regardait de hauts, sans qu’ils ne trouvent à redire ! Parfait, enfin presque. Parce que j’allais devoir me les taper toute une année quand même. Et là, je m’appuyais contre un mur, fermant les yeux, je vis l’Opéra de Sydney, et une salle remplie, de personne applaudissant, un unique piano sur la scène, avec un pianiste qui ne jouais pas, regardant de lus prêt, le pianiste n’avais pas de visage, sa figure n’avais ni yeux, ni bouche, ni oreilles, ni nez…Rien, elle était lisse comme du verre. J’ouvris brutalement les yeux, et repris un grand coup on souffle, heureusement le couloir était vide. C’était très bizarre, comme un rêve éveiller…En tout cas, je sus que je préféré mille fois passer l’année avec des abrutis de puristes qu’à Sydney avec un auditoire de bourges.

Puis, j’eu une penser pour ma sœur et ma cousine, espérant qu’elles ne seraient pas dans la même classe, histoire d’apaiser un peu les tensions entre ces deux jeunes femmes que j’adore plus que tout. Mais bon, je sus immédiatement que même si elles n’étaient pas dans la même classe, la tension ne s’arrêteraient pas pour autant, leur guerre froide n’était pas prête de disparaître, à mon grand désespoir. Je jetais un coup d’œil furtif à mon la fenêtre, apercevant la grande horloge qui dominait le bâtiment d’en face, 12h48. C’était l’heure de manger, mais le bahut étant tellement vide d’élève, -fin d’année oblige, je n’avais pas très faim. Alors, le foyer s’imposa en moi comme une idée toute prête, de plus, je n’étais pas très loin de ce dernier. . Je continuais donc à marcher, espérant que même si le bahut était vide, il n’y aurait pas ça bande de plouc là-bas, quoi que, non ils n’y seraient pas. Ils doivent rentrer juste après les cours pour faire leurs devoirs, XD. Franchement, ces fils à papas ne vont pas me taper sur le system bien longtemps

Arrivé là-bas, je vis Eleonor, furax, assise sur un canapé, râlant à voix basse. Deux ados –des premières années sans aucuns doutes, joué aux billards à l’autre bout de la pièce, et puis personnes. Je mis mes mains devant les yeux de ma cousine et lui fit un bisou sur la joue. Elle souri immédiatement et prononça mon nom.

-Alors, cousine, qu’es ce qui ne vas pas ?

Quand Eléonor avait dit que si elle croisait quelqu'un qu'elle connaissait elle allait l'envoyer bouler, elle avait tord, enfin pas totalement. Jared. Jamais elle crier sur Jared. C'était un peu la voix de la sagesse. Jared était bien trop important pour qu'elle lui dise quoi que ce soit. Il avait mit les mains sur ses yeux et avait parler. Comme à son habitude Eléonor souria. Dès qu'il parler, elle souriait. Elle reconnaitrait la voix de son cousin parmit toutes les voix masculines. Il enleva ses mains et s'installa à côté d'elle. Qu'est-ce qui n'allait pas? Très bonne question, à son avis. C'est pas tout les jours qu'on a à supporter sa cousine dans la classe, mais dans son cas, ca fait depuis 3 ans qu'elle la supporte. Son sourire disparut aussitôt à cette question. Elle n'était pas du genre à faire la tête, non Eléonor était de nature souriante, mais là fallait avouer qu'il n'y avait pas de quoi rire. Lui ne revanche il avait l'air de bonne humeur, comme pratiquement toujours, quoi que quand on le cherche bien, on le trouve. Bref, Eléonor se contenta de lever les yeux au ciel et de répondre le plus calmement possible à son cher cousin :

-Oh disons que j'ai juste à supporter une fois encore ta cher soeur, alias ma pire ennemie.

Pire ennemie, oui et encore c'était faible. Elle avait dit tellement d'insultes sur Roxanne qu'elle tait à cours d'idées, bien qu'elle ai de la ressources dans sa tête, au bout de trois ans ca devient difficile de trouver quelque chose d'original à lui sortir.

A l’annonce de « ce qui n’allait pas » je pestai intérieurement. Les profs le faisaient exprès ou quoi ? Parfois, je me le demande… Puis, il avait repassé en boucle dans sa tête la phrase de sa cousine. « Oh disons que j'ai juste à supporter une fois encore ta chère sœur, alias ma pire ennemie.» J’avais souris à « ta chère sœur ma pire ennemie ». Elle avait dit cela avec tellement de rage et de dégout, que j’en serais presque venu à la comprendre. Je la pris dans mes bras en lui chuchotant.

-T’inquiète pas, une année de plus, une année de moins, au point où vous en êtes….

Je savais que quand je lui murmurer à l’oreille, ça l’apaiser. Et apparemment, elle en avait bien besoin, d’être apaiser. Petit à petit, les membres de son corps se décrispèrent, et elle enroula ses bras autour de ma taille. Pourquoi elles n’arrêtaient pas ce petit jeu puéril, pourquoi ? Ce serait si utopique qu’elles s’entendent bien ? Bon sang, si j’en avais le pouvoir, je les réunirai, histoire qu’elles arrêtent de se remettre dans tous leur états à chaque foi qu’il y a une histoire, -voulut ou pas. Mais, je me suis toujours promis de ne pas intervenir entre elle, de peur d’en perdre une des deux.

Eleonor nicha sa tête dans le creux de mon cou, ma petite cousine n’en mené pas large. Je cherchais, et pourtant, je n’arrivais pas à me rappeler d’où vient leur haine, et encore le mot est faible. Déjà toute petite, alors que l’on connaît à peine ce sentiment, elles étaient toujours en compétition, pour les vacances à la plage, c’était le plus joli maillot de bain, le plus beau château de sable. Au ski, le plus beau bonhomme de neige, la meilleure luge. Et en général, c’était à moi qu’elles venaient demander de choisir, et à chaque fois, je les prenais dans mes bras en leur disant « vous êtes toutes les deux superbes ». Alors, elles se débattaient dans mes bras, et une fois que je les avais lâchées, elles allaient voir les adultes, non contente de ma réponse.

Elle était bien là au chaud dans les bras de Jared. Si ce n'était pas ceux de son meilleur ami c'était ceux de son cousin. Quoi de mieux? Jared devait en avoir vraiment marre de cette guerre continuelle. Il les avaient supportés depuis qu'elles sont toutes petites, il avait toujours voulut faire plaisir aux deux, il les aimaient autant c'était sur, seulement ni Roxanne ni Eléonor se semblait comprendre, bien qu'elle fasse des efforts. Eléonor ne pouvait pas empêcher Jared d'aimer sa soeur, c'était normale d'ailleurs puisque c'était sa soeur, et on protége toujours sa petite soeur, seulement Eléonor étant fille unique a du mal à avaler ca. Eléono se rapelle des paroles que Jared avait dit quelques minutes auparavant "une année de plus, une année de moins, au point où vous en êtes…." Il avait complétement raison. Elles se supporteraient comme elles ont toujours fait, seulement cette année aurait dut être special, et finalement il s'avére qu'elle sera comme toute les autres.
Eléonor n'en avait pas marre non, seulement à chaque fois qu'elle la croiser elle devenait énervé, et alors quand elle la voyait avec Jared, c'était pire. Elle s'arrangait toujours pour faire demi tour, et peut-être qu'elle était un peu jalouse fallait l'avouer, jalouse que Jared ne soit pas que pour elle.

-Assez parlé de nous hein...toi ta une bonne classe j'espére?

Eléonor savait que Jared était un prodige du piano, il l'avait toujours était. Et certaines personnes étaient choqués de voir Jared arriver dans leur classe, pourtant c'était un garçon comme les autres. Peut-être qu'ils ne le voye pas faire du piano.

« -Assez parlé de nous hein...toi ta une bonne classe j'espère? ». Je l’avais relâché, après que ma cousine m’ai posé cette question. Elle n’avait pas relâché sont étreinte facilement, mais j’avais un peu plus de force qu’elle ^^’. Et je n’avais pas eu besoin de beaucoup forcé. Je raclais ma gorge, ma classe n’avait pas était la mieux de ma vie, mais je n’avais pas vraiment envie de le dire à ma cousine, vus le niveau de son moral, en même temps, pas non plus envie de lui mentir…. Alors, comment en dire, sans trop l’affecter.

- Eh, bien, on va dire que je suis assez différent d’eux x) !
Ouai, je n’avais pas trop mal tourné la phrase, mais je savais qu’elle allait susciter la curiosité de ma cousine, surtout le « assez ». Mais bon, apprêt tout, elle aurait fini par l’apprendre tôt ou tard, et parfois mieux vaux tôt de la bouche de la bonne personne que tard par des ragots… Souvent même.

-Mais bon, on ne va pas y passer des heures! Tu as fini tes cours ?

J’espérer sincèrement qu’elle ne reviendra pas sur la composition de ma classe, je préféré l’emmenais faire un tour au parc. Cela lui changera les idées et ça nous permettra de discuter un petit peu tous les deux. Après tous, c’est bientôt els vacances, et nous n’allons peut-être pas nous voir beaucoup. Alors, autant en profiter maintenant.

Jared avait lâché Eléonor, mais elle, elle ne semblait pas vouloir le lâcher. Elle se décida tout de même à le lâcher bien qu'enfait ca soit la force de son cousin que elle qui fit que ses bras se retrouvérent au même endroit de départ, c'est à dire croisés.

Dans la réponse de son cher et beau cousin, Eléonor voyait bien qu'il y avait un truc de pas très normale. Soit elle aurait pas dut aborder le sujet, soit tout simplement il n'aimer pas sa classe et dans ce cas ils seraient deux. Et ca ne serait pas plus mal Eléonor se sentirer beaucoup beaucoup moins seule. Il avait dit qu'ils étaient différent de lui, oui Eléonor pensa savoir pourquoi, mais ca ne la géné pas le moindre du monde. Personne ne savait que Jared était gay, et personnellement elle trouvait ca bien.
"Tu as fini tes cours ?" A vrai dire elle n'avait pas encore regarder son emploi du temps, mais si elle pouvait éviter Roxanne, tout les moyens étaient bon. Elle regarda Jared et souria avant de dire un petit "Oui", mais ce petit "oui" en disait long. Elle avait besoin de changer d'air, de se détendre, même si depuis l'arriver de son cousin ca allait beaucoup mieux, elle allait recommencer sa crise quand ils se quitterons alors autant profiter du moment ou elle est pas dans les pattes de son frère et aller se promener n'importe ou mais ailleurs que dans l'établissement.

-Alors, je t’emmène faire un tour au parc !

Eleonor avait été parfaite en répondant qu’elle avait finit les cours. J’avais immédiatement put lui proposer une ballade au parc qu’elle avait accepté avec joie et enthousiasme. Un sourire illumina son visage, mêlant reconnaissance et empressement. Ma cousine, j’avais retrouvé ma cousine que j’aimai tant!

Je lui pris la main, et nous nous levâmes dans un seul geste. Puis, pour déliré, nous nous piquâmes un sprint dans les couloirs, jusqu’au petit murer d’à côté de la sortie voir. J’escaladais le muret en premier, et assis dessus, j’attrapais le bras qu’Eleonor me tendait, pour l’aider à ce hisser à mes côté. Une fois Eleonor bien installé, je sautais de l’autre côté et lui intimé de le faire, ouvrant mes bras pour la rattrapé. Une fois sortit de l’école, nous allâmes jusqu’au parking, chercher ma voiture. Tous cela le plus rapidement possible, pour éviter de se faire repérer par le concierge. Une fois dans la voiture, je mettais le contact pendant qu’Eleonor cherchait une station de radio.

-Tu préfère lequel, celui avec le plan d’eau ou celui avec l’allé d’arbres ?

Car, bien sûr, il n’y avait pas qu’un parc à Hollywood, et il y en avait en l’occurrence, deux presque équidistant de l’école, alors, autant bien choisir notre destination.

Jared lui ferait bien faire n'importe quoi. Entre escalader le mur, courrir dans les couloirs, tout ca pour pas se faire repérer. C'était bien son genre, mais pas celui d'Eléonor, et pour tout avouer, c'était la première fois qu'elle fesait ca. Sécher non ce n'était pas la première fois, mais s'enfuir de l'académy de cette façon si. Et elle avait adoré ! Faudra qu'elle recommence. Ils prirent la voiture de Jared garée pas très loin. Ils montérent dans la voiture, et Eléonor se mit directement à chercher une chaîne de musique qui voudrait bien passer. Pas les infos, non de la musique. Pendant qu'elle chercha Jared lui demanda dans quel parc elle voulait aller. A vrai dire les deux étaient vraiment bien. Celle avec l'allée d'arbre c'était bien pour l'ombre et la fraîcheur, mais l'inconvéniant c'est que tout le monde y aller justement parce qu'il fesait frai et qu'il y avait de l'ombre. L'autre parc qui était non loin de celui avec l'allée, il y avait un plan d'eau. Génial pour faire du canoén enfin ce genre de chose, et on pouvait s'y baigner, l'eau était froide mais c'était bien. L'inconvéniant c'est que ce parc était beaucoup plus surveiller que l'autre alors la moindre bétise, hop au poste de police. Enfin au point ou ils en étaient tout les deux. Et puis elle était presque sur qu'ils pourraient se tenir a carreau.

-Celui avec le plan d'eau.

Eléonor trouva enfin une chaîne de musique. Jared souria et prit la direction du parc avec le plan d'eau. Il n'était pas très loin, tant mieux. Ils roulérent donc pendant quelques minutes et Jared gara sa voiture sur le peu d'ombre qu'il y avait sur le parking histoire de pas trop crâmer quand ils reviendraient de leur petite promenade. Elle descendit de la voiture et rejoignit son cousin. Elle passa son bras sous le sien et se dirigea vers l'entrée.

Nous entrâmes dans le parc, passâmes devant les quelques banc à l’entré. Là, un petit couple de notre âge était assis sur un banc, le garçon leva les yeux au ciel à Jared genre « toi aussi tu y a droit au balade l’après-midi au parc ». Je me mordis la lèvre pour ne pas exploser de rire. C’est vrai que de la manière dont l’on s’agripper Eleonor et moi, on aurait put croire à un couple, si loin de la vérité. Je me penchais pour chuchoter à Eleonor la situation, elle ne put s’empêcher de s’esclaffer. Je regardais derrière, nous étions assez loin du couple, j’explosais alors à mon tour.

Nous continuâmes à marcher jusqu’à l’étendue d’eau et nous nous assîmes sur la pelouse verdoyante.

-Alors, ça va mieux ?

En effet, l’air frais lui avait redonné des couleurs et le sourire. Elle paraissait plus détendue et plus sereine. Ce qui me rassuré un peu, car je n’aimé pas les voir contrariées, autant l’une de l’autre et surtout, a cause de l’une ou de l’autre. Je relevai la tête, le soleil brillait sur le lac, s’était magnifique, ont aurait dit qu’il y avait des millions de pierres précieuse aux fonds des eaux. De plus, il y avait une petite brise fraiche qui empêchait la chaleur d’être étouffante, vraiment c’était une belle journée. Je me demandais si notre petite escapade n’aurait pas de répercutions sur le dossier d’Eleonor, pour moi, mon dossier était blindé, mais j’aurais des remords si cela lui valait une mauvaise appréciation.

Avant de s'installer au bord de l'eau, les deux jeunes cousins étaient passé devant un couple. Le garçon avait l'air contrain d'aller au parc. Oui les filles aiment bien se promener ici, c'est plus calme qu'a l'autre. Ca avait fait rire Eléonor quand Jared lui avait expliquer la situation. Elle avait été aggripé au bras de Jared sans le lâcher et on aurait put penser à des sous entendut, d'ailleurs à cet instant elle avait espéré que personne de l'académy est eu la même idée qu'elle, c'est à dire sécher et venir ici, parce que si quelqu'un la voyait accroché comme ça à son preux chevalier, il allait y avoir des rumeurs comme quoi les cousins sortent ensemble alors que non, loin de là. Ils continuérent leur chemin jusqu'au plan d'eau et s'assirent devant. Jared lui demanda si ca allait mieux, plutôt que ca allait mieux, elle avait reprit des couleurs elle le sentait, et elle sourier. Tout aller bien. Et puis ca rendait heureux son cousin de la voir comme ca, ca se voyait aussi. Finalement cette après-midi s'annoncait magnifique. Or de question pour Eléonor de revenir en cours alors qu'on peut passer du bon temps ici au bord de l'eau. Les profs allaient remarquer son absence, allaient téléphoner chez elle pour demander pourquoi elle n'était pas en cours, elle allait se fire engeuler, et interdiction de sortir. Elle l'aurait mérité, mais elle l'avait voulu, et elle ne regretta rien du tout.

-Ca va super !

Eléonor jeta un coup d'oeil de l'autre côté de la rive et vit des pédalos. Elle était monté une fois sur un pédalo et elle en avait un très mauvais souvenir, évidemment puisque c'était en vacance avec Roxanne et qu'elle l'avait fait tombé du pédalo, biensur elle devait avoir huit ans, mais ce genre d'événement marque. Elle regarda Jared et se mit à rigoler. Elle se leva et secoua le bras de Jared.

-Aller viens on va en faire, s'il te plait !

Oh, non ! Elle voulait faire du pédalo ? Amaziiiing ! Pourtant, c’était bien elle qui était tombée à l’eau après une énième dispute entre sa sœur et elle ? Et elle voulait en refaire ? Là, j’avoue que je ne comprend pas, elle devait avoir quoi, 7, 8 ans, grands maximum, mais elle avait mis des jours à s’en remettre et j’étais persuadé qu’elle ne voudrait pas en refaire avant un petit moment, et pourtant, c’était bien Eleonor Heaven ; ma cousine, pire ennemie de ma sœur qui me demandait de venir faire du pédalo avec elle.

-Hùm, tu es sûr ?

Non pas que je ne voulais pas en faire, mais plutôt que j’avais peur qu’une fois sur le pédalo, de vieux souvenir refassent surface et qu’elle panique, avec un peu de chance, nous serions arrivé au milieu de lac, et tout seul à pédaler, nous n’arrivions pas bien vite au bord. Pourtant, elle agitait vivement la tête en signe d’un « oui » évident.

-Certaine ?

Elle soupira et pris ma main, en répétant un vieux discours,
-Oui, je suis sûr, t’es une poule mouillé ou quoi ? Aller Jared, lève toi bon sang. Arf, ce que tu peux être lourd *merci du compliment*. Mais bouge-toi allé ! Emmène-moi au pédalo...

Pendant ce temps, j’hésiter, perdu dans mes pensées. Puis, finalement je me lever en articulant « je t’aurais prévenu ! » pour que ça ne ce retourne pas contre moi plus tard.

Ah ce qu'il pouvait être pénible quand il s'y metter. Il avait pas l'air plus enthousiasme que ca, pourtant Eléonor voulait vraiment ressayer, puis ce ne serait pas Roxanne à côté d'elle mais son frère et là est toute la différence. Et puis c'était du passé, fallait l'oublier et vivre le moment présent. Elle finit par prendre la main de Jared, puisque celui ci ne sembla pas se bouger trop les fesses pour y aller. Il finit par se lever et par dire qu'il l'aurait prévenu. Prévenu de quoi? Elle était sur qu'elle pourrait réussir ca paraissait pas bien sorcier.

Ils se dirigérent tout les deux vers les pédalos. Une fois arrivé, Eléonor paya pour pourvoir faire un tour et vu que le lac était grand, ca ferait un grand tour. L'homme qui s'occuper des pédalos l'enleva de l'herbe et le mit au bord de l'eau pour que le démarrage soit plus facile. Eléonor monta dedans mais pas du côté ou il y avait les pédales. Elle fit un grand sourire a son cousin alors que celui ci la regarder l'air de dire "Pourquoi tu te met là?".

-Ah non Jared tu pédale !

Elle fit signe à Jared de venir s'installer à côté d'elle, il avait l'air encore moins enthousiasme en apprenant qu'il fallait qu'il pédale. Mais quand elle était tombé, c'était elle qui pédaler, alors fallait changer. Chacun son tour.

« -Ah non Jared tu pédales ! »
Non ! ♫ Je ne veux pas travailler ♫ Bon, Calme toi Jared ! Souris ! Voilà, maintenant, prend une grande respiration. Je rêve, elle me traine faire du pédalo, ensuite elle me dit de pédaler. C’est quoi ces pédalos ? Normalement, il y en a deux paires de pédales!

-Je reviens.

J’allais voir la dame des pédalos, lui demandant si elle en avait avec DEUX paires de pédales. Au début, elle ne comprenait pas, je désespérer, quand elle eut l’illumination, au bout d’environs 5 minutes d’explication, elle me dit que je n’étais vraiment pas un gentleman de vouloir faire pédaler ma copine –décidément, et qu’elle n’avait pas de pédalos avec deux paires de pédales et que si elle en avait, elle ne me le louerait pas. Par la fenêtre du cabanon, je voyais Eleonor qui s’impatientait. Je repartis, pestant dans ma barbe. *Sourire*

-Alors, cousine ? On y va ?

Je montais à bord et commençais à pédaler, ce que je devais avoir l’air c*n!

Jared était partit faire on ne sait trop quoi, laissant Eléonor en plan dans le pédalo. Il allait certainement pas se défiler comme ca, heureusement pour elle il revenut au bout de dix minutes après avoir parlé à une dame. Même de loin elle avait complétement idiote. Alors sa cousine n'était pas la seule sur terre à être idiote, elle devait se sentir beaucoup moins seule. Jared revenu donc et s'installa, il commenca à pédaler, et le pédalo avancer tranquillement vers le milieu du plan d'eau. Eléonor souria, c'était rare de le voir pédaler, et c'était marrant. Il avait pas l'habitude de le faire ca se voyait! Mais bon, on ne pouvait pas lui en vouloir. Il continua de pédaler jusqu'au milieu de l'eau et s'arrêta. Il devait être à bout de souffle en même temps ca devait pas être facile. Eléonor regarda par dessus le pédalo. Elle avait toujours eu le mal de mer quand elle était gamine, mais ce genre de chose change hein? Eléonor avait très mal à la tête d'un coup, elle se senter vraiment pas bien, ah c'était pratiquement sur que ca arriverait ca.

-Jared, j'ai mal au crane quand je regarde l'eau...c'est normale?

-Oui, mademoiselle. Ce s’appelle une phobie, et ce que vous m’avez demandez de faire –c’est-à-dire faire un tour de pédalo, ça s’appelle une idiotie !

Si elle avait un malaise, je n’aurais plus qu’à pédaler comme superman pour ramener le pédalo le plus vite possible au rivage, et appeler une ambulance. Et notre « petite sortie entre cousin et cousine » tournerai bientôt au « drame au milieu du lac ». Eleonor palissait à vue d’œil. Je lui pris la main et commença à pédaler pour faire demi-tour. Histoire d’éviter le plus grave –qu’elle tomber à l’eau. J’aurais jamais du accepter ce tour de pédalo. Mais, elle sait pertinemment que je ne peux rien lui refuser. Et puis, de toute manière, si je lui refuse quelque chose, c’est « Bah pourquoi tu ne vas pas directement dans le clan de ta sœur », et pareil pour Roxanne « Mais, vas y avec ta cousine, rejoins-son clan, qu’es ce que t’attends ? ». Si elles savaient à quel point elles torturent l’esprit avec leurs querelles.

Une phobie, oui ca devait être ca. Si Jared ne fesait pas demi tour tout de suite Eléonor allait s'évanouir. Elle arrêta de regarder l'eau et leva son nez. Elle prit sa respiration à fond quand Jared lui prit la main et commenca à faire demi tour. Heureusement qu'elle avait un cousin adorable, plus d'une personne serait rester là planter en plein milieu soit à rire soit à ne pas bouger. Eléonor voyait déja les gros titre "Noyade involontaire". Mon dieu elle voulait pas tomber à l'eau, bon elle savait nager, mais elle était pas rassurer quand même.

Ils arrivérent au bord et Eléonor descendit la premiere du pédalo remercient Jared de l'avoir ramener sain et sauve. Elle lui déposa un baiser sur la joue et lui souria.

-Merci beaucoup Jared, promit on en fera plus !

-Mais de rien, SuperJared. Prix des services affiché hors taxe, 7/7, 24/24h. A votre service. Lui répondis-je en lui faisant un clin d’œil.

Arrivé au bord, je rendis le pédalo à la propriétaire et pris la main de Eleonor, enfin, elle s’appuyait sur moi de tout son poids, affaiblit par sa phobie. Je l’emmenais un peu plus loin, dans l’herbe, pour s’asseoir.

-Ca va mieux ?

C’était bien sa veine qu’elle me face des frayeurs comme ça, déjà que je dois supporté leur querelles, si en plus elles me font des malaises !
!

Eléonor souria, oui ca allait mieux une fois pied à terre. Elle regarda deux filles qui montaient dans le pédalo à leur tour. Eléonor les plaignaits. Jamais elle remonterait dedans, elle continuerais à aller à la mer mais plus jamais de pédalo, ou même canoë ou kayak. Plus rien du tout.

-Oui ca va mieux ! Mais je commence à avoir faim.

Le pauvre cousin, Eléonor lui fesait faire des trucs...entre le pédalo, et maintenant elle lui disait qu'elle avait faim. Il allait pas la supporter longtemps mais entre bon cousin il allait bien lui offrir une glace non?

-Et tu voudrais que ton cousin préfère t’emmène manger un truck, c’est ça ?

Quand on était petit, elle adorait les cookies de notre grand-mère. Et depuis, elle prenait toujours cela quand elle déjeuner autre pars, au Starbucks, partout, pour essayer de retrouver le gout de cookies de mamie. Alors, à chaque fois, elle était un peu déçu.

Eléonor souria avant de déposer un baiser sur sa joue.

-Quelle intelligence Jared ! Tu te souviens quand on été petit? Je veux revivre ses moments là, même si en ce moment je le revis tout les jours, je sais pas ce que j'ai en ce moment j'ai tout le temps faim.

Eléonor d'habitude fesait des régimes, mais là elle avait faim partout ou elle allait, et sa la prenner à n'importe qu'elle heure, le matin à 10H00, en plein dans l'après-midi, ou même à peine trente minutes après avoir finit le repas.

» Une détente en musique pour un dimanche¤Jared¤